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Rien ne se crée, rien ne se détruit, tout se transforme." Gunter Pauli
La vraie économie circulaire : les déchets de l'un sont la matière première de l'autre
Nous ne pouvons plus nous contenter de parler des problèmes environnementaux mondiaux, il est grand temps pour nous de les traiter pour véritablement les résoudre ! On ne peut pas rester de simples citoyens inquiets du futur, désolés pour les erreurs commises ; au contraire, on se doit de réagir et de trouver des moyens de créer une base sur laquelle les générations à venir pourront s’appuyer pour MIEUX faire. La liberté que nous devons donner à nos enfants est sans doute de leur permettre de penser différemment de nous et, plus encore, d’agir d’une meilleure façon. C’est pourquoi il est temps de nous interroger sur ce que nous lèguerons aux générations futures comme structures de pensée positive et plateformes d’action concrète. C’est là notre défi le plus grand.
Les mauvaises nouvelles ne concernent pas que la santé de notre planète. S’il est vrai que le système économique actuel a apporté plus de richesse que n’importe quel autre dans l’histoire, après les maintes crises et le chômage persistant, spécialement des jeunes, il faut que nous fassions mieux, beaucoup mieux...
Le concept de l’Économie Bleue est issu d’années de réflexions et de pratiques visant à apporter des réponses nouvelles, concrètes et efficaces, à ces défis. Il s’agit d’un modèle économique qui incite à utiliser ce qui est localement disponible, qui ne produit pas d’effets secondaires tels émissions et déchets et qui, au lieu de coûter plus cher, assure la compétitivité et l’augmentation de la productivité tout en créant des emplois et une meilleure cohésion sociale ! Un miracle ? Non, parce que nous en avons un exemple tous les jours sous nous yeux : c’est la Nature. En effet, l’Économie Bleue émule les interactions si efficaces et évolutives des écosystèmes, dans lesquels les déchets de l’un sont la nourriture de l’autre, et sait utiliser l’intelligence et la créativité humaines pour comprendre que, pour que la pomme tombe de l’arbre, il faut qu’elle ait pu auparavant "monter" en défiant la loi de la gravité.
L’Économie Bleue :
L’Économie Bleue s’attache à la régénération, au delà donc de la préservation et de la conservation ; elle ne recycle pas, elle régénère. D’une certaine façon, l’Économie Bleue consiste à s’assurer qu’un écosystème maintient ses règles évolutives afin que tous puissent bénéficier du flux infini de la Nature en matière de créativité, d’adaptabilité et d’abondance.
Pour plus d'informations : http://www.theblueeconomy.org/ ainsi que ZERI (Zero Emissions Research and Initiative)
Toutes ces idées s'appuient sur la Science et le pragmatisme. Et vous savez-quoi : elles créent des emplois.
Les mauvaises nouvelles ne concernent pas que la santé de notre planète. S’il est vrai que le système économique actuel a apporté plus de richesse que n’importe quel autre dans l’histoire, après les maintes crises et le chômage persistant, spécialement des jeunes, il faut que nous fassions mieux, beaucoup mieux...
Le concept de l’Économie Bleue est issu d’années de réflexions et de pratiques visant à apporter des réponses nouvelles, concrètes et efficaces, à ces défis. Il s’agit d’un modèle économique qui incite à utiliser ce qui est localement disponible, qui ne produit pas d’effets secondaires tels émissions et déchets et qui, au lieu de coûter plus cher, assure la compétitivité et l’augmentation de la productivité tout en créant des emplois et une meilleure cohésion sociale ! Un miracle ? Non, parce que nous en avons un exemple tous les jours sous nous yeux : c’est la Nature. En effet, l’Économie Bleue émule les interactions si efficaces et évolutives des écosystèmes, dans lesquels les déchets de l’un sont la nourriture de l’autre, et sait utiliser l’intelligence et la créativité humaines pour comprendre que, pour que la pomme tombe de l’arbre, il faut qu’elle ait pu auparavant "monter" en défiant la loi de la gravité.
L’Économie Bleue :
- se différencie profondément de l’Économie Rouge, ce que nous connaissons et qui a conduit à la faillite mondiale actuelle. C’est une économie qui emprunte à tous et à tout, à la nature, à l’humanité, sans penser à rembourser un jour. Les fameuses économies d’échelles visent une baisse du coût unitaire de chaque article manufacturé en ignorant totalement les conséquences induites aux niveaux planétaire et humanitaire. La crise financière démarrée en 2008 a tiré son origine de banquiers et de dirigeants concentrés uniquement sur les fusions et acquisitions, effets de leviers et création de dettes sur la base de l’hypothèse d’une croissance indéfinie, impossible dans la pratique.
- va au-delà de l’Économie Verte, invoquée par les parties écologistes verts, qui exige des entreprises de nouveaux investissements, attend des consommateurs qu’ils paient plus cher pour des résultats et des produits équivalents, voire moins bons, mais soucieux de l’environnement. Or, ce qui était déjà difficile en période de richesse, est devenu en ces temps de crise une véritable gageure. L’Économie Verte, en dépit de ses objectifs louables et de ses efforts, n’a pas démontré comment faire pour être véritablement durable, soutenable.
L’Économie Bleue s’attache à la régénération, au delà donc de la préservation et de la conservation ; elle ne recycle pas, elle régénère. D’une certaine façon, l’Économie Bleue consiste à s’assurer qu’un écosystème maintient ses règles évolutives afin que tous puissent bénéficier du flux infini de la Nature en matière de créativité, d’adaptabilité et d’abondance.
Pour plus d'informations : http://www.theblueeconomy.org/ ainsi que ZERI (Zero Emissions Research and Initiative)
Toutes ces idées s'appuient sur la Science et le pragmatisme. Et vous savez-quoi : elles créent des emplois.